Une fois n'est pas coutume (enfin, ça m'arrive tout de même parfois), je me sens l'envie de parler d'une de mes animes du moment: Slayers Revolution!
Un peu d'histoire tout de même: Slayers! est une série d'anime relativement ancienne (la première saison remonte à 1995, ce qui ne nous rajeunit pas) d'heroic-fantasy parodique. Les trois saisons, ainsi que la majeure partie des films et des OAV datent du précédent millénaire: j'apprécie toujours autant de les regarder, mais ils souffrent de la comparaison avec les productions contemporaines.
Slayers! raconte donc les aventures d'une jeune sorcière, chasseuse-de-prime(ça existe?)/pilleuse-de-trésor/destructrice-de-cité, au caractère bien trempé, à la moralité douteuse et à la puissance de feu équivalente à celle d'un Gandalf dans les grands jours. Accompagnée d'une floppée de compagnons haut-en-couleurs (Gourry Gabriev, caricature du guerrier ayant oublié d'attribuer des points en intelligence lors de la création du personnage, Amélia, princesse ayant grandi au milieu des contes de fée et voulant absolument apporter la justice au monde entier, etc.), elle parcourt la planète en quête de trésors et de festins, laissant souvent un sillon de ruines fumantes derrière elle. Accessoirement, il lui arrive aussi de sauver le monde lorsqu'elle y est obligée.
La série doit son nom au sort préféré de Lina, le Dragon Slave, souvent utilisé à tort et à travers chaque fois que quelque chose (la paie ou tout commentaire sur la taille de sa poitrine) lui déplaît. La doubleuse, Megumi Hayashibara (connue notamment pour le rôle d'Ayanami Rei dans Evangelion et de Faye Valentine dans Cowboy Bebop), est particulièrement impressionnante.
Et la nouvelle saison vient donc de débuter. La patte graphique est la même, mais l'animation est nettement plus moderne: un vrai bonheur donc pour le fan qui n'espérait plus. L'histoire repends telle qu'elle avait été laissée à la fin de la troisième saison, mais il n'est pas nécessaire d'avoir vu les épisodes précédents pour l'apprécier. Au bout de trois épisodes, on reste encore dans l'introduction, qui se délecte joyeusement: l'humour est toujours présent, et les nouveaux personnages semblent particulièrement savoureux.
Un peu d'histoire tout de même: Slayers! est une série d'anime relativement ancienne (la première saison remonte à 1995, ce qui ne nous rajeunit pas) d'heroic-fantasy parodique. Les trois saisons, ainsi que la majeure partie des films et des OAV datent du précédent millénaire: j'apprécie toujours autant de les regarder, mais ils souffrent de la comparaison avec les productions contemporaines.
Slayers! raconte donc les aventures d'une jeune sorcière, chasseuse-de-prime(ça existe?)/pilleuse-de-trésor/destructrice-de-cité, au caractère bien trempé, à la moralité douteuse et à la puissance de feu équivalente à celle d'un Gandalf dans les grands jours. Accompagnée d'une floppée de compagnons haut-en-couleurs (Gourry Gabriev, caricature du guerrier ayant oublié d'attribuer des points en intelligence lors de la création du personnage, Amélia, princesse ayant grandi au milieu des contes de fée et voulant absolument apporter la justice au monde entier, etc.), elle parcourt la planète en quête de trésors et de festins, laissant souvent un sillon de ruines fumantes derrière elle. Accessoirement, il lui arrive aussi de sauver le monde lorsqu'elle y est obligée.
Lina et Gourry en pleine action
La série doit son nom au sort préféré de Lina, le Dragon Slave, souvent utilisé à tort et à travers chaque fois que quelque chose (la paie ou tout commentaire sur la taille de sa poitrine) lui déplaît. La doubleuse, Megumi Hayashibara (connue notamment pour le rôle d'Ayanami Rei dans Evangelion et de Faye Valentine dans Cowboy Bebop), est particulièrement impressionnante.
Et la nouvelle saison vient donc de débuter. La patte graphique est la même, mais l'animation est nettement plus moderne: un vrai bonheur donc pour le fan qui n'espérait plus. L'histoire repends telle qu'elle avait été laissée à la fin de la troisième saison, mais il n'est pas nécessaire d'avoir vu les épisodes précédents pour l'apprécier. Au bout de trois épisodes, on reste encore dans l'introduction, qui se délecte joyeusement: l'humour est toujours présent, et les nouveaux personnages semblent particulièrement savoureux.
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